foodista

Il est des adages surréalistes dont la dimension burlesque nous parait tellement déconnectée de toute réalité, que nos zygomatiques sont les seuls à pouvoir profiter pleinement de la profondeur de ceux-ci.
Anticipant inconsciemment les événements de ces derniers jours, Jacques Rouxel ne croyait pas si bien dire, en affublant les Shadoks de cette devise pleine d'un bon sens des plus "findusien" : « Pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué ? »

Bon, certes il n'y a pas de quoi instaurer la loi martiale en terme de remplissage des panses, mais tout de même, s...

Il y a dans mon village, deux endroits que j'affectionne particulièrement : la cave (Une Note de Vin) et la librairie (Librairie Détours). On n'y trouve pas tout, mais simplement le plus important : un café chaud, un échange, de bonnes choses (quoi de mieux qu'un bon bouquin et une belle quille ?) ... de bons moments, simples, que notre ordinateur s’affranchit allègrement de proposer quand on l'allume. 

Car dans le vieux couple que peut former "Homo Numéricus" avec son PC, et même si Facebook joue le rôle de l'antidépresseur en demandant chaque jour de nos nouvelles, la re...